Oui c'est trop dur, c'est ce que je me dis à chaque fois, mais la vie sans eux me serait encore plus difficile !
Passées les premières heures ou rien ne peut adoucir le chagrin, c'est toujours les ratoux qui consolent le mieux de la perte d'un des leurs !
Pendant que je t'écris, je pleure en même temps, et ma petite Kali, cachée dans mon pull se demande ce qui m'arrive... rien maman est trop sensible c'est tout...
quant à Maya, elle est bien loin de tout ça, elle dort roulée en boule.
Bisou