S'il n'y a pas de solution au problème, alors ce n'est pas un problème.
Et s'il y a une solution au problème, alors il n'y a plus de problème.
Pour finir, la peur n'évite pas le danger... et oui, tout le monde y pense, mais ta crainte ne doit pas rester passive, elle finira par se transformer en actions préventives.
La vieillesse, ça se gère plutôt bien, mais ça se prépare surtout, pour éviter justement les vieillesses difficiles et surtout dans la souffrance. Lors des tous premiers signes (rat qui dort plus, qui sort moins, ça commence autour des 2 ans/ 2 ans et demi), on va surveiller le jeune papy, et surtout le peser plus souvent. On repère ainsi les pertes de poids, et on les évite en proposant graduellement des aliments riches pour garder le rat à son poids de forme.
Puis petit à petit on aménage, on s'adapte selon les difficultés. Et surtout on l'écoute, parce qu'on peut toujours traiter de façon palliative et limiter la douleur. Ce n'est qu'après que le palliatif ne suffit plus, qu'on pense à soulager définitivement, parce que s'il y a bien une chose qu'on ne peut pas se permettre, c'est de les regarder souffrir sans agir pour eux.
Mais en prenant un peu d'avance, en agissant avant que la vieillesse s'installe bel et bien, on ralentit quand même un peu le processus. On ne l'empêche jamais, mais on limite la douleur, on permet au rat de vivre ses vieux jours convenablement.
Oui le décès est difficile, mais inévitable alors à quoi bon le craindre ? Il arrivera de toute façon, alors autant se préparer, limiter les problèmes pour que le départ soit le plus doux possible pour l'animal, c'est notre devoir.