Ma puces ma belle j’ai tellement de mal à trouver les mots et j’ai tellement de truc à dire, je ne voulais pas lâcher ton petit corps entre mes bras je voulais tellement te garder avec moi
Tu es entré dans ma vie d’un coup et je n’aurais jamais crus que t’a présence, que ces jours passés avec toi m’apporterais autant. J’espère, malgré mes erreurs t’avoir offert une douce et belle vie j’espère que partager ma vie t’a plus mon cœur…
Toi … louloute malicieuse et téméraire, toi ma ratoune si têtue et si belle … tu me manque …terriblement. Toi dont les fugues et les bêtises rythmais mon quotidien. Tu as été une louloute formidable… la première… celle avec qui tout à commencé.
Quand je t’ai choisis se fut une évidence… tu avais l’aire tellement bien dans tes patounes. Tu t’es révélé être un ratoune vive et joyeuse, il y avait toujours un recoin a découvrir avec toi. Ho ! Tu n’étais pas timide et loin d’être peureuse tu étais une vraie aventurière ma belle…
Et entre deux trois découverte tu revenais nous voir pour une séance de calin… tu creucreuter beaucoup, comme un ptit moteur et t’es yeux menacer de sortir de leur orbite… Tu n’avais vraiment pas l’air maline quand tu te mettais à creucreuter à mon approche de la cage, accrocher au barreau.
On t’a emmené avec nous a l’autre bout de la France a brest la ou tu a sentie le vent salé du Finistère et je crois que tu aimé sa le museau levé les moustaches frémissante et l’océan face à toi ce fut une superbe année avec toi comme tu à toujours sus le faire tu à greffer tes habitude sur notre rythmes la première lever à attendre le corn flakes du matin. J’aimais se quotidiens avec toi. Toi et tes bons… Des bon spectaculaire ma puce… à croire que tu voulais t’envoler…tu nous à tellement de fois fait peur. Je me suis souvent dit que l’on c’était trompé qu’on avait prie un écureuil… un écureuil volant
Quand je t’ai récupérée pour la première fois chez le véto toute rasé du dos tu continuais à courir infatigable, tu tanguais a cause de l’anesthésiant mais tu courais toujours avec cette même vivacité et j’ai crus pendant quelque seconde que tu serais éternelle… Ma belle, tu as gambadé jusqu’au bout tu as bondi autant que tu pouvais même avec tes patounes affaiblie par la vieillesse, tu te trainer presque, mais à une vitesse…
Un jour tu as du te rendre compte que tu ne pouvais plus sauter de mon lits pour gambader mais toi que rien n’arrête tu as décidé de te laisser tombé du lit et moi je flippais a chaque fois, te récupéré et tu me regardais comme si de rien n’était et recommencé aussitôt… une vraie casse cou. De temps en temps dans tes folles aventures tu t’accordais un repos surtout vers la fin et je profiter de ta chaleur contre moi pendant de longue soirée à te regarder t’étendre et creucreuter les yeux fermé.
Tu as finit par arrêter de courir… et j’ai encore du mal à y croire… j’aime penser que la ou tu es tu pars pour un merveilleux voyage peut être un tour du monde affublé de deux grandes ailes, une nouvelle aventure… Mon écureuil tu t’es envoler, peut être pour découvrir le monde.
J’espère que cette aventure a mes coté t’a plus, tu resteras éternelle pour moi...