Mais où est-elle ? C'est envie? Ces espoirs, ces envies de découverte, d'apprendre, de les rencontrées..
C'était en juin 2012, on allait déménagé, j'allais enfin pouvoir avoir "mes rats" . Et puis, j'ai trouvé une personne, qui me parlait de "F" 1 et 3 et 4 et 6 .
Je ne comprenais pas la logique, de ces chiffres. Peut m'importait, je touchais du doigts, cette envie, avoir mes rats.
Je suis tombé sur sa photo, ma petite Yuna. Une photo ou la personne la tenait "debout" sur ses pattes arrières, avec ses oreilles en feuille des choux , et sa tache sous le ventre. C'était elle.
Et puis, nous voilà a tombé sur une autre portée, née un jour après Yuna. Une petite crotte toute blanche. L'évidence était là..
Le 1er septembre, vous étiez là, distante, apeurée, je vous regardais de loin, j'ouvrais très peu la cage, a part pour nourrir, les premiers jours étaient très dur, vous vouliez pas nous voir, vous étiez terrorisées. Et puis vous m'avez offert un moment unique, au bout de quelques semaines, j'ai réussi à vous porter, sans vous voir se débattre.
Ce jour là, vous m'avez donné la foi. De croire en nous, en nos efforts, et en notre relation. Vous m'avez montré, que maintenant nous étions ensemble, et que ça changerais nos vie à jamais, notre vie "commune" commençait réellement..
Et puis les mois sont passés, à fouillé dans votre passé, a ce rendre compte que vous étiez si fragiles, si éphémère.
Et puis Yuna est partie, elle a laissé ce grand vide. Comment on survie à ça ??? A ce petit être qui vous donne tant.. J'ai mis tellement de temps, à regardé la cage sans pleuré, passé une nuit sans y penser.
Et maintenant toi. Tu étais si fatiguée.. Ce soir de 2 septembre, que je t'ai lavée, j'ai tellement pleuré, tellement ma puce, je savais que c'était la fin, que tu allais partir, j'aurais aimé que tu lâches prise plus tôt, que tu te laisse allé. Nous t'avons gardé contre nous de longue minutes, et puis nous t'avons laissée. Et ce 3 septembre, au matin tu étais partie. Tu nous avais quitté, à la maison, sans maladie, sans tumeur, sans souffrance. Juste fatiguée. Ton tout petit corps ne souhaitant plus se battre.
Tu as laissé ce si grand vide en nous. Et la magie, elle est partie avec vous..