Snow Je t'ai adopté un jour de pluie. Je n'avais ce jour là aucune idée sur ce qui arriverait par la suite.
J'avais pris Sand, t'ai trouvé pas trop mal et ai dit, pourquoi pas toi.
Ton marquage sans doute et ton fameux « grain de beauté » n'ont pas été innocents dans ce choix.
Tu était là pour accompagner Sand parce que je préférais adopter par paire, et pas vraiment pour ce que tu étais.
Pour preuve ce n'est pas moi qui ai choisi ton nom. Sweepy me l'avait glissé en disant que tu deviendrais entièrement blanche ce qui irait bien avec ton nom.
Au début timide je ne t'ai pas forcé à venir me voir, t'ai laissé à ta petite vie.
Puis je suis parti en vacances en Guadeloupe.
A mon retour, la rattouille toute timide que tu s'était transformée en rate curieuse, affectueuse et joueuse.
J'ai appris à te connaître, et ainsi à commencé notre histoire d'amour. Tu as même séduit ma mère qui avait beaucoup d'appréhensions vis a vis des rats.
Tu as su montré une intelligence assé développé. Répondant à ton nom, tu accourrais lorsque je t'appelais.
Lorsque tu voulais quelque chose tu me montais sur l'épaule et me mordait la joue pour capter mon attention.
Accroc aux caresses, tu n'hésitais pas à venir me dormir dessus.
Ma favorite, celle avec qui je partageais mes repas, avec qui je voulais passer mon temps. Ton attitude en venait souvent à éclipser la présence des autres.
Puis il a fallut qu'une tumeur mammaire pointe son nez, comme pour me rappeler que tu ne serais pas toujours là. L'opération s'est très bien passée, et tu m'as montré une fois de plus que tu étais extra.
Le vétérinaire à d'ailleurs pu à ce moment voir ton coté espiègle.
Tu as arraché les fils, puis les agrafes. J'en ai ris énormément de ta bouille avec ta collerette.
Le temps à passé et nous vivions bien toi et moi. Les autres avaient parfois un souci, mais tu étais toujours là pour me remonter le moral. Pour m'ouvrir la bouche avec des deux pattes historie de me piquer ce que je mangeais.
Ta tumeur est revenue. Je n'ai pas souhaité te faire opérer tout de suite, elle grossissait doucement et je voulais t'épargner une seconde opération. Mais celle-ci a continué à prendre du volume, et je me suis à voir que ca. Son volume se faisant de plus en plus important, j'ai finalement décidé qu'il était temps de te retirer ce parasite qui s'accrochait à toi.
Aujourd'hui j'ai le sentiment que j'ai eu tord. Tu n'as pas récupéré de l'opération, pas comme il le fallait. Hier tu es tombé. Toi mon petit flocon de neige qui me dansait autour, tu es tombée dans ta cage.
Je n'ai pas réagis tout de suite, mais quand je t'ai vu mon cœur a raté un battement.
Je me suis précipité t'ai pris contre moi et ai sur qu'il ne nous restait plus beaucoup de temps. Je t'ai senti faible et tremblante. J'ai cherché à te réchauffé, te gardant dans mon sweat.
T'ai préparé de la blédine pour te redonner un peu d'énergie. Lorsque que j'ai voulu te donner celle-ci tu as agis comme Alpha, tu t'es mise à creucreuter l'air de me dire merci, puis tu l'as recracher pour ajouter, mais ce ne sera pas nécessaire car il est trop tard.
Pourtant j'ai refusé d'y croire, n'ai pas voulu te lâcher un instant. Je t'ai pris et me suis allongé à coté de toi pour que tu sois au chaud prêt de moi. Contrairement aux autres fois, tu es restée contre moi.
Au réveille mon cauchemar était devenu réalité, tu étais belle et bien parti. Je me suis réveillé à coté de ta dépouille. Mais ce n'était plus toi, la flamme de ta vie avait été soufflée comme si tout ce que tu étais et avais représenté pour moi n'avait jamais été.
Pourtant la douleur était cuisante, tu n'es plus là, et une ombre de plus plane sur moi.
J'ai appelé Diane pour qu'elle m'envoie les photos qu'elle avait fait de toi. Les derniers souvenirs de ton existante rayonnante. J'ai lutté pour ne pas craqué, car le simple fait de parler de toi était comme mettre doigt dans une plaie béante.
Ce soir il pleut, quel étrange coup du sort que sur les dernière œuvres te représentant, il pleuve aussi comme le jour de ton arrivée dans ma vie.
Adieu mon amour.