Bonjour bonjour!

voilà je viens à vous car je commence à perdre patience et à me dire que ça ne changera jamais.

Mon ratou que j'ai acquis il y a un mois et demi chez un particulier (3mois), a toujours été méfiant flippé et n'as jamais aimé qu'on le prenne, il ce débat et pousse même des petits cris (je n'insiste jamais de peur qu'il le vive mal), le problème c'est qu'au début je me suis dit que ça changerait.. Hors ça n'as pas évolué, par moment si, il ose des folies viens vers nous, mais ça ne dure pas, quand je le sors il joue, mais d'autres jours il va chercher à ce cacher, et ne vas pas bouger de sa cachette..

Je commence à culpabiliser et à me dire qu'il n'est pas heureux..

J'ai tout essayer, les friandises, le tissu avec mon odeur etc..

Si vous avez d'autres conseils je prend!!

PS: il à un copain de 7mois avec qui apart quelques petits bagarres de domination tout roule pour le mieux!! Et son compagnon est un réell amour de rat! C'est le premier à venir a moi, jouer, et à se blottir contre moi.. Autant vous dire que le contraste entre eux et IMMENSE!

Après c'est peut être juste son caractère, certains rats ne sont pas particulièrement câlin ou proches de l'homme, c'est comme ça.

Dans quelles circonstances l'as tu récupéré, connais tu son passé ?

Oui je me suis aussi dis que cela pourrait être son caractère.
J'ai vraiment peur qu'il soit malheureux avec moi et il à tout pour être heureux pourtant

Alors il viens d'un particulier qui en avait pas mal, il vivait avec ses frères et son père.
Cela dit avant l'adoption la personne avait déménagé donc il as subi des sa naissance un changement de cage et d'environnement..
Cela pourrais jouer sur son temps d'adaptation et faire qu'il soit aussi plus long?

Oui ça peut jouer aussi, et si il a une nature à être plus stressé et plus méfiant ça peut mettre plus longtemps. Le principal et le plus important c'est qu'avec son copain de cage tout se passe bien, c'est la seule chose vraiment indispensable à son bonheur et à son équilibre, après pour le reste quelque part c'est plus nous qui avons besoin d'eux que l'inverse en fait